6. Peut-on-dise qu’un
translation d’une bande dessinée française que reste une représentation
suffisant de la sens d’une œuvre original ? Notamment dans le cas du ‘Quoi
D’Orsay.’
Souvent dans le media il y a des récréations des films, romans ou des
séries télévisées étrangères pour le public anglophone, mais es ce que c’est
possible transmettre l’essence est les singularités d’œuvre original en édition
anglais ? pour comprendre les traductions ont besoin regarde à l’histoire
et les détails des techniques spécifiques.
Historiquement la traduction été un outil pour la croissance
d’accessibilité l’œuvre littéraire avec un cible internationale, et à l’époque
actuelle il reste un nécessité pour la répartition d’information. Le
‘traductologie’, la théorie de la traduction, est située quelque part entre un
art en un science. Dans l’étude de la bande dessinée « Quai D’Orsay » c’est
vraiment intéressant lire les traductions pour les lecteurs Anglophones dans le
version anglais qui s’appelle « Weapons of Mass Diplomacy ». Mais la question
préoccupant de la traduction est peut-on-dise qu’un translation d’une bande dessinée
française que reste une représentation suffisant d’une édition originelle ?
Dans cette affaire la bande dessinée, crée par l’auteur Abdel Lanzac, et
l’illustrateur Christophe Balin, été traduit en anglais par Edward Gauvain.
Gauvain été traduit plus que 150 bandes dessinées et il gagné la compétition de
la traduction de ‘John Dryden’ deux fois. Quand Le traduction anglais été
publié en 2014, il été particulièrement composé pour une cible Américaine, et à
cause de ce change il y a un élément de la domestication et le ‘foreignization’
de la phraséologie du texte. Le premier exemple est la domestication du titre,
l’expression familière pour les bureaux gouvernementales françaises à Paris ne
sont pas généralement connu pour les étrangers. Le choix d’appeler le
traduction anglais « Weapons of Mass Diplomacy » est attirer les lecteurs plus
généraux. La domestication avait le pouvoir d’être subtil, comme la formulation
du « qu’est-ce que vous voulez boire Arthur ? ». Le change de la phrase en
anglais « what’s your poison Arthur ? » se reflet the culture Américain plus
qu’une traduction directe.
Un autre exemple est l’ajustement de la façon de la mesure du temps comme «
24h sur 24h » (p.6 QD) et “24/7” (p.12 WOMD) c’est-à-dire une phrase plus
francophone. En suite est le procès d’adaptation des vues ou des idéologies de
la culture française pour le cible Américaine. Les attitudes sociales
d’États-Unis sont plus conservatives et fréquemment capitaliste, donc la
traduction doive illustrer ses values. Par exemple dans l’édition française le personnage
d’Alexandre Taillard de Vorms discuté une philosophie du Mao (« Mao - pensées
») (p.5 QD), mais dans l’édition anglais le traducteur en lieu utilise Karl
Marx. (p.11 WOMD) et il cite un concept diffèrent (p.12 WOMD) que plus convient
le public.
Il y aussi des interprétations intéressantes, et quelque fois, amusant pour
le lecteur concernèrent l’équivalence des singularités littéraires dans un
bande dessinée. Dans le bande dessinée l’équivalence est utilisé pour trouve
une façon alternative pour expresse un chose particulièrement culturellement
singulier pour un cible étrange. Pour trouve une traduction des choses dans le
‘jargon’ française que les Américains peuvent comprendre. Fréquemment dans les
vignettes d’une bande les actions des personnages est représenté par les mots
onomatopéique. Le mot potentiellement iconique pour le personnage d’Alexandre
Taillard de Vorms et « VLON » qui sont utilisé pour illustre ses mouvements
agressifs et vite. Le mot équivalent dans le traduction anglais est « DOOM ».
C’est une tâche essentielle pour le traducteur d’une roman, article, ou
bien sûr, une bande dessinée trouver des mots sur le niveau de la cible qui
encourage les lecteurs à lire un texte. Pour résumer quand on lire les deux
éditions français et anglais, les similarités outrepasser les différences et
variations du langue. La traduction effectuée par Edward Gauvin est imaginative
et une représentation honnête de la bande dessinée originale.
La Bibliographie
- Venuti, Lawrence (1995) The translator’s
invisibility. A history of translation. London: Routledge.
- Abdel Lanzac, Christophe Blain, Edward Gauvin,
Weapons of Mass Diplomacy, Self
Made Hero, London.
- Abdel Lanzac, Christophe
Blain, 2010. Quai D’Orsay,
Dargaud, Paris.
- J.-P. Vinay et J.
Darbelnet., 1967. Stylistique comparée du français et de l'anglais,
Didier, Paris.
- Peter L. Berger, 1987. Capitalism and Equality in America, Institute for Educational Affairs, New York.
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